samedi 17 mai 2014

Kintsugi: "couture d'or".

Ce qui se brise n'est pas cassé. Ce qui se brise est d'or.



"Le kintsugi (金継ぎ?) (japonais : « jointure en or ») ou kintsukuroi (金繕い?) (japonais : « réparation en or ») est une méthode japonaise de réparation des porcelaines ou céramiques brisées au moyen d'une résine laquée saupoudrée de poudre d'or1,2. Le kintsugi serait apparu lorsque, à la fin du XVe siècle, le shogun Ashikaga Yoshimasa a renvoyé en Chine un bol de thé chinois endommagé pour le faire réparer. Le bol étant revenu réparé avec de vilaines agrafes métalliques, les artisans japonais auraient cherché un moyen de réparation plus beau.
Les collectionneurs se sont ensuite à ce point épris de cet art nouveau que certains ont été accusés d'avoir délibérément cassé de précieuses poteries afin qu'elles puissent être réparées avec les coutures d'or du kintsugi1. Le kintsugi est étroitement associé aux ustensiles en céramique employés pour la cérémonie japonaise du thé2." (Wikipedia)

"Kintsugi (金継ぎ?) (Japanese: golden joinery) or Kintsukuroi (金繕い?) (Japanese: golden repair) is the Japanese art of fixing broken pottery with lacquer resin dusted with powdered gold, silver, or platinum a method similar to the maki-e technique.[1][2][3] As a philosophy it speaks to breakage and repair becoming part of the history of an object, rather than something to disguise." (Wikipedia)

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